Rente constituée au moyen d’épargnes non enregistrées, c.-à-d. provenant, par exemple, du produit de la vente d’une propriété ou d’autres éléments d’actif. Dans tous les cas, les versements effectués comprennent du capital investi et de l’intérêt touché.

Rente constituée à la suite de la transformation de placements enregistrés, c.-à-d. des épargnes accumulées dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER), un fonds enregistré de revenu de retraite FERR, un compte de retraite immobilisé (CRI), un fonds de revenu viager FRV, un régime de pension agréé (RPA) ou un régime de participation différée aux bénéfices RPDB. La totalité des versements est imposable.

Rente assurant au rentier un revenu pour une durée déterminée. Aussi désignée comme rente à terme ou rente à échéance fixe.

Voir Rente certaine

Voir Rente certaine

Placement d’épargne accumulée (enregistrée ou non) afin de recevoir, sous forme de montants prédéterminés, un revenu stable pour une période de temps précise ou jusqu’au décès.

Gains qu’un investisseur escompte réaliser avec un ou plusieurs placements, et ce, sous forme de revenus d’intérêts, de dividendes ou de gains en capital. Généralement, plus le taux de rendement espéré d’un placement est élevé, plus le risque inhérent est élevé.

Rendement généré en réinvestissement systématiquement les intérêts, les dividendes ou les gains, dans le capital, afin de l’augmenter progressivement.

Rentabilité d’un investissement ou d’un placement, c.-à-d. le montant des intérêts ou des dividendes qu’il génère pendant une période déterminée. Le rendement n’est qu’un des éléments à considérer dans le choix d’un fonds. Il est très important que l’analyse préalable à un investissement intègre aussi des éléments comme la composition du portefeuille, les frais de gestion, le niveau de risque, la volatilité, l’expertise et la réputation du gestionnaire ainsi que la qualité du service à la clientèle. De plus, il est important de ne jamais perdre de vue que les rendements passés d’un fonds ne sont pas garants de ceux à venir. Il ne faut donc pas se fier exclusivement aux rendements antérieurs d’un fonds pour l’évaluer.

Règle permettant de déterminer le temps nécessaire pour doubler des montants investis selon le taux de rendement visé. Il suffit de diviser le nombre de 72 par le  taux de rendement constant afin d’obtenir le nombre d’années requis pour que la valeur du capital double.