Technique consistant à emprunter pour investir, en tablant sur le fait que le coût de l’emprunt sera moindre que le rendement total des sommes investies. Des spécialistes sont d’avis que cette technique ne génère pas des bénéfices beaucoup plus importants que l’épargne systématique, et plusieurs d’entre eux refusent d’endosser la stratégie consistant à emprunter pour investir dans les valeurs mobilières.

Titre négociable confirmant la créance à court terme d’un montant déterminé au profit du porteur. Cette créance est cessible par endossement (p. ex. un billet à ordre, une lettre de change, un chèque). Un effet de commerce permet un transfert rapide et sûr d’une créance ou d’une dette, et ce, sans qu’il soit nécessaire de manipuler des fonds

Date d’exigibilité obligeant le remboursement ou le rachat d’un emprunt, d’une obligation ou d’une débenture.

Europe, Australie et Extrême-Orient

Montants de cotisation maximale permise à un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) qui n’ont pas été déduits au cours des années antérieures; cumulatifs, ces montants peuvent être utilisés ultérieurement. Le montant de la cotisation maximale permise à un REER est calculé par l’Agence du revenu du Canada (ARC) et apparaît sur l’avis de cotisation.

Transfert volontaire de biens, sans contrepartie pécuniaire ou tout autre avantage. En conséquence, l’organisme qui bénéficie de la générosité d’un donateur ne doit d’aucune façon le récompenser.

Partie du bénéfice d’une société distribué aux actionnaires proportionnellement au nombre d’actions qu’ils détiennent.

Stratégie consistant à limiter les risques en répartissant les fonds entre les divers types de placement (diversification par classe d’actif) et en achetant des titres émis par diverses sociétés qui exercent leurs activités dans des secteurs différents (diversification par secteur d’activité) ou à des endroits variés (diversification géographique). Mettre tous ses actifs dans le même type d’investissement étant une pratique hasardeuse, la diversification est considérée comme un principe fondamental d’une saine gestion de placement.

Paiement aux détenteurs de parts de fonds communs de placement (FCP) du revenu ou des bénéfices réalisés lors de la vente des valeurs mobilières.

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